J’entends souvent parler de dépression selon le jargon scientifique, parce que je suis issue du domaine de la santé. Récemment, j’ai lu à ce propos d’une vision yoguique et j’ai trouvé que cela était tout à fait sensé et plutôt inspirant.
Que puis-je faire réellement à part consommer des médicaments si ma croyance est que ma dépression est exclusivement une affaire de « connexion de synapses au cerveau »? Comment puis-je véritablement reprendre mon pouvoir?
Cet texte n’a rien à voir avec la science ou la médecine, mais est plutôt une réflexion sur le fait que nous sommes au cœur de nos maladies. Connaissez-vous cette expression: « Le mal a dit »?
Louise Bourbeau parle si bien de ce sujet dans son livre Écoutes ton corps. Elle partage que nos maux physiques sont causés par des blessures émotionnelles, un manque d’écoute de soi et de ses envies véritables. Pas fou non?
Je ne dis pas qu’aucun cas de dépression ne nécessite de médicaments. Je dis plutôt que l’on pourrait éviter beaucoup de consommation d’antidépresseurs en Amérique si l’on prenait le temps de trouver qui nous sommes, ce que nous aimons vraiment et que nous choisissions de vivre en accord avec ces envies profondes… Bref, si nous assumions le fait d’être responsables de nos malaises physiques, émotionnels et mentaux.
Nos décisions de chaque instant comptent. Le croyez-vous?
Et si votre corps vous parle vraiment. Que vous révèlent ses malaises?
Bonne semaine toute en conscience,
Avec amour,
Meyranie Rodriguez
... Une vie te ressemble vraiment 
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